Je suis un avocat américain en semi-retraite avec qui s’intéresse à la politique. Aujourd’hui, j’habite à Los Angeles, en Californie. Dans les années 60’s, quand j’étais plus jeune, je suis allé à l’école à Summerhill School à Leiston en Angleterre et j’y retourne de temps en temps. Professionnellement, j’ai travaillé à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane comme un « Assistant District Attorney » (similaire à un procureur). Curieusement, la lutte contre la criminalité dans la « Big Easy », avec son style de vie décontracté et vieux comme le monde, la culture, était une préparation étonnamment bonne pour penser à la vie politique Française de ces dernières années.
Au cours des dernières années, j’ai été en visite en France et je suis également en train d’apprendre à parler français en suivant des cours a l’Alliance française de Los Angeles, avec des résultats variables. Mon professeur m’a invité à écrire sur ce qui m’intéresse sur la théorie que je voudrais en savoir plus. Donc, ce qui m’intéressait? La politique et en particulier l’affaire DSK dans laquelle j’avais un intérêt obsessionnel. Le mieux que l’on puisse dire à propos de mon choix de sujets, c’est que, à chaque crise, chaque scandale, mon vocabulaire s’améliore un peu. De l’adversité des autres, l’amélioration du vocabulaire pour moi.
Néanmoins, il y a un prix à payer pour mon obsession de scandale et de la politique. Je ne peux pas nier que mon habitude de lire obsessionnelle sur les derniers scandales, au lieu de faire mes études de français m’a laissé avec une compréhension quelque peu déséquilibrée de la langue française. Je peux lire décemment, mais seulement aussi longtemps que le sujet est la politique ou la criminalité. Et grâce aux efforts de Sarkozy et DSK, mon vocabulaire comprend de nombreux mots colorés et des phases qui ne sont pas enseignées ici à l’Alliance française.
D’autre part, si la plupart des restos de Paris n’a pas eu de serveurs anglophone, je serais en danger de mourir de faim lors de mes visites. Une conversation avec un chauffeur de taxi peut parfois être un défi majeur. Je ne comprends pas un mot de ce que les Français disent les uns aux autres. Rien. C’est comme s’ils parlent dans une langue secrète que je ne peux pas pénétrer, peu importe combien j’essaie.
Alors, il s’agit d’un long de chemin de dire que lorsque vous lisez ce blog, vous avez en principe la lecture de mes devoirs de français donc je demande à ne pas être jugé trop sévèrement. Cela explique aussi pourquoi de nombreux postes sont mystérieusement améliorés le week-end après avoir été postés. Hélas, ce n’est pas parce que ma compréhension du français se développe merveilleusement chaque week-end. Non, c’est parce que mes messages, ils sont édités lors de mon cours de français le jeudi par mon professeur, Madame Juton, sans l’aide de laquelle mon écriture ne serait rien de plus qu’un fatras de mauvaise grammaire et d’impropriété (ce que nous appelons « malapropisms » en anglais). Aussi, je ne suis pas un homme de lettres et il est donc madame Juton qui fournit des références littéraires et les tours habiles de la langue française pour rendre ces polémiques plus tolérables ou du moins plus alphabétisées. La responsabilité de la pensée moins claire et le libéralisme strident parfois trouvé ici et les erreurs de grammaire qui survivent le processus d’édition sont, bien sûr, les miens.
J’espère que vous apprécierez mon blog.
Esque vous de KHJ Boss Goldens? Esque vous de Tufford’s?
Avec ou contre DSK?